« À travers ces deux femmes magnifiquement résistantes qui cherchent un chemin de réparation [...] pour faire la paix avec le ressentiment et l’amertume, le roman mêle la quête des origines et la question de la transmission des traumatismes, à une réflexion sur l’identité métisse. De sa belle voix multicolore, avec une légitimité venue de l’intérieur et le sens de sa responsabilité, Beata Umubyeyi Mairesse soulève [le couvercle du chagrin] pour libérer les mots tus.»
              
                    LIVRES HEBDO
                                      
                « Un des textes importants de cette rentrée.»
              
                    LE QUOTIDIEN DU LUXEMBOURG
                                      
                « L’écriture est maîtrisée, poétique, sensible.»
              
                    PAGE DES LIBRAIRES
                                      
                « un récit criant de vérité un roman admirablement composé»
              
                    L’HUMANITÉ
                                      
                « une belle langue, qui tinte clairement dans notre cœur pour trouver chaque fois le mot le plus juste, celui qui touche plus sûrement le lecteur.»
              
                    LA LIBRE BELGIQUE
                                      
                « Un récit poétique de la force des femmes »
              
                    CHEEK MAGAZINE  
                                      
                « Une voix nouvelle, poétique et sensible. Quelle force !»
              
                    PSYCHOLOGIES MAGAZINE
                                      
                « Stokely voudrait savoir d’où il vient, il peut aussi aider sa mère à comprendre qui elle est. Là réside la beauté de ce délicat premier roman.»
              
                    LE MONDE AFRIQUE
                                      
                « Elle est là, la grande leçon de ce roman à la fois sombre et lumineux : comment les individus arrivent à transmettre de belles choses pour le meilleur et malgré le pire... »
              
                    L’EXPRESS
                                      
                « Tout au long de son magnifique premier roman, Beata Umubyeyi Mairesse apprivoise délicatement les fantômes et les silences.»
              
                    LE MONDE DES LIVRES
                                      
                « Elle est là, la grande leçon de ce roman à la fois sombre et lumineux : comment les individus arrivent à transmettre de belles choses pour le meilleur et malgré le pire...»
              
                    L’EXPRESS
                                      
                « Un magnifique premier roman »
              
                    LE MONDE DES LIVRES
                                      
                « Tissé d’une langue recherchée, riche en jeux de mots imagés, ce premier roman marque la naissance d’une voix forte de la littérature « afropolitaine ». »
              
                    LA VIE
                                      
                « Dans ce roman splendide, porté par le courage de ses héros, elle dit aussi les vertus de la littérature pour semer les graines d'un avenir résilient.»
              
                    ELLE
                                      
                « Un texte puissant»
              
                    SUD OUEST MAG
                                      
                « Sous la simplicité de l’écriture affleurent les émotions et les non-dits, les rancœurs et les espérances, les peurs et les chagrins. Un livre plein de décence, de tendresse et de pudeur où chaque mot cache une larme. »
              
                    NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
                                      
                « Un roman émouvant qui cherche l’apaisement.»
              
                    EN ATTENDANT NADEAU
                                      
                « Un récit émouvant porté par l’espoir du jour d’après. »
              
                    L’ALSACE
                                      
                « L’horizon littéraire de Beata Umubyeyi Mairesse est un arc-en-ciel éblouissant : les émotions qu’il suscite sont autant de couleurs qui éclairent et subliment les paysages dévastés par
              
                    la tempête.»
JEUNE AFRIQUE